FOR IMMEDIATE RELEASE

[Le français suit]

Traditional territory of the Wabanaki Peoples/Fredericton — The Conservation Council of New Brunswick (CCNB) and the New Brunswick Anti-Shale Gas Alliance issued the following statement with respect to Repsol SA’s announcement that there is no business case for building an export liquefied natural gas plant at the Saint John LNG location.

Premier Blaine Higgs pushed a private-sector company, Repsol, to convert its Saint John LNG (liquefied natural gas) import terminal into an export terminal for energy security, economic development and energy transition. The company now says, after completing a feasibility study, that there is no business case.

Saint John LNG, formerly Canaport LNG, storage tanks and jetty with oil tanker offloading oil at the mono buoy off the shores of East Saint John, New Brunswick. Nick Hawkins / Conservation Council of New Brunswick

“There never was a business, environmental, public health or climate case for the Saint John LNG project, including the unrealistic idea from Premier Higgs that the province would lift the shale gas moratorium to supply the Saint John LNG plant quickly and cost effectively,” says Jim Emberger, spokesperson for the New Brunswick Anti-Shale Gas Alliance.

“We need a realistic energy plan for New Brunswick that delivers projects grounded in the reality of climate change, and that are fit for purpose in a decarbonized world. LNG and shale gas are not the answer,” says Dr. Louise Comeau, Co-interim executive director, Conservation Council of New Brunswick.

The province committed in its recent climate action plan to developing a clean electricity strategy for the province before 2025. New Brunswickers have consistently shown they prefer an energy system comprised primarily of renewable energy and energy efficiency. We need an inclusive and collaborative process that delivers a modern energy plan and we call on Premier Higgs to make that commitment today.


Il est grand temps de faire pour le N.-B. des plans réalistes susceptibles de donner lieu à des avantages économiques et environnementaux, et non pas à des chimères, comme du gaz naturel liquéfié polluant et une levée destructrice du moratoire sur le gaz de schiste

Le 17 mars 2023

À l’attention des directeurs et directrices de l’information— Le Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick (CCNB) et l’Alliance anti-gaz de schiste du Nouveau-Brunswick ont publié la déclaration suivante concernant l’annonce de Repsol SA selon laquelle rien ne justifie la construction d’une usine de gaz naturel liquéfié destiné à l’exportation à Saint John.

Le premier ministre Blaine Higgs a pressé une entreprise privée, Repsol, de transformer son terminal d’importation de GNL (gaz naturel liquéfié) de Saint John en un terminal d’exportation à des fins de sécurité énergétique, de développement économique et de transition énergétique. Après une étude de faisabilité, l’entreprise affirme que ce projet n’est pas justifié.

« Rien n’a jamais justifié, dans une perspective commerciale, environnementale ou climatique, ni sur le plan de la santé publique, la réalisation du projet de GNL Saint John, y compris l’idée irréaliste du premier ministre Higgs selon laquelle la province lèverait le moratoire sur le gaz de schiste pour approvisionner rapidement et économiquement l’usine de GNL de Saint John », affirme Jim Emberger, porte-parole de l’Alliance anti-gaz de schiste du Nouveau-Brunswick.

« Au Nouveau-Brunswick, nous avons besoin d’un plan énergétique réaliste susceptible de produire des projets ancrés dans la réalité du changement climatique et adaptés à l’objectif de décarbonisation du monde. Le GNL et le gaz de schiste ne sont pas une solution », déclare Louise Comeau, co-directrice exécutive par intérim du Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick.

Dans le cadre de son récent plan d’action pour le climat, le gouvernement s’est engagé à élaborer une stratégie sur l’électricité propre pour la province avant 2025. Les Néo-Brunswickois ont toujours indiqué qu’ils préféraient un système énergétique principalement composé d’énergies renouvelables et de technologies éconergétiques. Nous avons besoin d’un processus inclusif et collaboratif afin d’élaborer un plan moderne pour l’énergie, et nous exhortons le premier ministre Higgs à prendre cet engagement dès aujourd’hui.